Claude Maurice

Claude Maurice

Venue de Montrouge (92), je vis et travaille à Montpellier depuis plus de quarante ans maintenant.Ma formation s'est faite « sur le tas », par de multiples stages (Takachi Kawahara, Sylvain Corthay, Philippe Oger, Bernard Guittet, Michel Rostain, Jean-Pierre Rossfelder, Yuri Petrov, Oleg Koudriachov et Alexis Schelygin, Françoise Bette, Luca Franceschi et d'autres) puisque je travaillais déjà au sein de troupes : La Rampe (1971-1980) puis La Fougasse Tragique (1980-1992) Depuis cette date je travaille avec plusieurs « familles » que j'ai retrouvées avec plaisir tout au long des années pour des projets différents mais auxquels je suis toujours heureuse et fière d'apporter ma petite pierre : Art Mixte (« Pourquoi j'ai mangé mon père », « A tous ceux qui ») Le Théâtre du Vent pour des projets poétiques (« Vivi le poézi », « Migration ») Le Théâtre de Mathieu et la Cie Point du Jour pour un travail de marionnettiste (« Médée » de Max Rouquette, « Silence la violence », « Tom ler chapitre l » de F. Gerbaulet), La Cie Adesso e Sempre (6 participations entre 1995 et 2008 dans des spectacles mis en scène par Julien Bouffier, dont « Les yeux rouges » et « Les vivants et les morts »), la Cie Espace Nomade (« SNCF 70 ans » et « L'Illettré »), la Cie TEC (« Rien », mise en scène de « Un coeur attaché sous la lune » de Valetti) Quand des textes me tenaient à coeur, j'ai pu monter des projets pour les présenter : « Notre besoin de consolation est impossible à rassasier » de Stig Dagerman, dans une mise en scène de F. Ferré en 1994 ; « Loin des Cévennes » de

Colas Valat sur la vie de Fanny Stevenson, dans une mise en scène de Michel Froehly en 1995. Je peux ajouter à cela de nombreuses lectures publiques, parfois conçues suite à commandes (pour les Amis du Musée Fabre en 1990 et 1992, pour l'ODAC en 1993, pour le Printemps des Poètes en 2012), un travail régulier avec le musicien Henri d'Artois (« De mes vers » de Marina Tsvetaéva, « Une besace » de Michaël Glück) et d'innombrables interventions en milieu scolaire ou extra scolaire pour accompagner le travail de terrain des compagnies auxquelles j'appartenais. Actuellement je travaille avec la Cie Provisoire (« L'Ogrelet » de Suzanne Lebeau, « Assemblée » et « L'abîme ou les travailleurs de la mer » d'après V. Hugo), dans des mises en scène de Julien Guill.

Le volet « audio-visuel » de mon travail, quoique moins prenant, m'importe également beaucoup. J'ai pu ainsi rencontrer et travailler fidèlement avec le réalisateur Jean Soulet, au CRDP de Montpellier d'abord, puis au sein de l'association Clap Vidéo qui en Lozère produit chaque année courts et longs métrages. Mon dernier long métrage est : « Vincent n'a pas d'écailles » de Thomas Salvador. La télévision m'a permis de tourner une vingtaine de fois dans des productions plus réduites. Voilà ! L'aventure continue...

Spectacles
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