Aurélia Marceau

Aurélia Marceau

Depuis l’âge de sept ans, elle partage professionnellement l’aventure théâtrale de la compagnie avec laquelle elle tourne en France et en Europe. Elle interrompt la création théâtrale pour passer sa licence de cinéma à Paris 3 et rejoint à nouveau l’Oeil du Silence, pour y créer le rôle troublant d’Hamlet. Elle joue dans « La Mémoire des femmes » au Teater Der Welt de Francfort et au Teatro Fernan Gomez de Madrid, où elle reviendra l'année suivante pour « Trilogie »; Puis c’est « Immemoriam » au CDN Gérard Philipe de Saint-Denis, au Théâtre de la Digue à Toulouse, au Workcenter Jerzy Grotowski à Pontedera. Aux Cantiere Internationale d'Arte de Montepulciano et au Teatro Manzoni de Pistoia elle travaille dans « Abymes » aux côtés de son père Marcel Marceau et enchaîne avec le Werkstatt Berlin dans « Ether. Je » sur l’esplanade du Reischtag, aux côtés de René Gouzenne. Suit la trilogie « L'Empire du Regard » au Parvis Scène Nationale de Tarbes où on la retrouvera quelques années plus tard dans « Les 81 minutes de Melle A » de Lothar Trolle ainsi qu'au Festival d'Avignon . Elle suit la tournée des « Miroirs de La Fontaine » mis au programme des Tréteaux de France. Aux Chantiers de l'Acteur et des écritures, elle aborde un grand nombre de rôles féminins/masculins et d’auteurEs, de Shakespeare à Didier-Georges Gabily, de Clément Marot aux écritures vivantes de Carole Fréchette, Michel Deutsch, Daniel Keene, Howard Barker, Françoise Hann, Abel Neves, Dea Loher, Chloé Delaume ou Noëlle Renaude. Après la création « Les 400 coups du théâtre » au Festival de Figeac en 2011, elle a rejoint en fin d’été Le Festival de Cinéma de Gindou, puis Les Chantiers de l’acteurE et des Écritures à Anglars-Juillac pour tenir les rôles du Bouffon chez Goethe, de Gaillardine chez Aristopphane, d’Arsinoë chez Molière, de Bodice chez Edward Bond, avant d’aborder l’univers de la poétesse Vénus Khoury-Ghata avec « A quoi sert la neige?».

Elle partage avec Anne Sicco la charge du département « Recherches et Archives » de L’Oeil du Silence.

Spectacles
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